La Qibla (3'24) K.Rhyme Le Roi / Bruno Coulais, Akhenaton Disponible sur Comme un aimant
Paroles Je reviens de là où le soleil se couche sur les mosaïques là A pique j’réplique la réplique authentique non poétique de là De l’ombre où nait la lumières sous le choc des vents De l’orient du couchant héroïque, moctoubre are lique Par celui qui dépasse les mesures et ne se laisse mesurer Le temps archaïque, dirigé Par une arabesque dessinée dans tous les sens et avance En cadence comme la rose des sables désertiques, diriger Et laisse derrière elle un tableau chaotique antique, mystique Par sa légende dirigée Où seuls les nomades experts expérimentés, espèrent vivre Survivre sur les toits du Sahara tous guidés Au fait qui nous sommes sans trône ni couronne, Nous sommes que l’homme fait d’eau et de boue l’être fait De pierre de poussière on retourne à la poussière tous guidés Où jailli le Nil le rive le kif de griffe du chiffre zéro Créé par mes ancêtre Baraquette tous guidés Nos phrases se nourrissent de lettre maître de l’alphabet Qui me coule que de plume sur lettre sur les tablettes D’Allah aux paroles du prophète orienté La croyance pense à un sens sous l’offense transperce Les pensées au cœur noir Pour l’amour de la pierre noire la clé spirituelle la qibla M’oriente vers la Kaaba, orienter
Refrain : A l’horizon sous les galops des destriers dirigés par la quibla Chevauché de la main droite Mon étendard sous les tambours flotte Quand la rose des vents sur mes violons Joue des notes salées pour mon courage
Dans mes pensées j'ai l'esprit perse, l'oeil perçant Même Alexandre le grand intrépide est petit devant mon combat Alors je lève mon glaive pour la gloire, pour la rage, pour l’espoir Pour tourner une page de l’histoire Comme le fut Haïssa autrefois j’ai la foi de hamza pour le Coran Loin de chitanne l’aïnne, trime sous la guillotine La faux, fourche du fou sur mon flow Si je joue la quinzième carte du tarot loin d’être taureau J’suis verseau dans mes verset où l’oppresseur a versé Le sang des messagers par cœur Non pas par erreur par peur d’une terreur D’enterrer le socle sous le choc ou le roque du peuple fut taillé Forger, émerger dans la vallée des larmes infâme dans les flammes Par l’homme à deux cornes armé Qui veut nous amener, amène mon âme est comme la dune Formé de la même graine j’imprègne engraine les miens Jusqu’au Yémen et règne dans le monde du silence Descendant d’une dynastie Ottoman fortement opprimant Oppressant du talisman où certains salivent salve le salut du salvateur Y’a rien de Don Quichotte dans mes textes